Astrig Siranossian

Astrig Siranossian violoncelle et chant

Premier Prix et plusieurs fois Prix Spécial du concours international Krzysztof Penderecki, Astrig Siranossian se produit en soliste sur les plus grandes scènes. Régulièrement invitée par Daniel Barenboim, elle partage la scène avec Simon Rattle, Martha Argerich, Yo-Yo Ma et Elena Bashkirova, entre autres. Invitée des plus grandes scènes - Philharmonie de Paris, Carnegie Hall à New York, Musikverein de Vienne, Théâtre des Champs-Élysées, Philharmonie de Berlin, Théâtre Colon à Buenos Aires, Kennedy Center à Washington... - et de nombreuses chaînes de télévision (TF1, France 2, France 5, CultureBox TV, BR Kultur...), elle a enregistré plusieurs disques qui ont été unanimement salués par la presse et dont le dernier paru, l’album “Duo-Solo” (2022), est une rencontre entre mélodies populaires et répertoire savant qui fait dialoguer le violoncelle et la voix. Elle avait auparavant gravé avec son partenaire de scène Nabil Shetata le Concerto n°1 de Saint-Saëns pour le label Alpha Classics, sous lequel était déjà paru l’album “Dear Mademoiselle”, hommage à Nadia Boulanger avec Nathanaël Gouin et Daniel Barenboim qui a reçu les hommages de la presse internationale. Directrice artistique depuis 2015 du festival les Musicades à Romans-sur-Isère (sa ville natale) qui met en miroir la musique avec les arts et la gastronomie, Astrig a aussi créé en 2019 la mission “Spidak Sevane” qui vient en aide aux enfants au Liban et en Arménie à travers la musique. Elle est en outre devenue en 2023 la directrice artistique du festival de violoncelle Adèle Clément dans la Drôme, et prendra en 2024 la direction du festival Nadia et Lili Boulanger à Trouville. Née dans une famille de musiciens et diplômée du CNSMD de Lyon à 18 ans, Astrig Siranossian a obtenu deux Masters au Conservatoire Supérieur de Bâle avec les félicitations du jury. Elle joue un violoncelle F. Ruggieri de 1676, généreusement prêté par la Fondation Boubo Music ainsi qu’un violoncelle de 1756 du luthier Geinaro Gagliano ayant appartenu à Sir John Barbirolli.